La console est sans doute la meilleure amie du Linuxien, car on se rend vite compte qu'elle est indispensable à un nombre important de tâches d'administration et de reconfiguration (exemple : la compilation).
Or, sous Linux, pour entrer une commande en console, l'utilisateur dispose de deux solutions :
Si la première option rappelle « l'écran bleu de la mort » à certains habitués de Redmond — ou encore le recours désespéré du libriste à la console GRUB 2 quand l'environnement graphique d'Ubuntu plante au démarrage — Le problème de la deuxième solution tient au fait que la console graphique peut prendre non seulement un temps certain à s'afficher sur des machines à faibles ressources, mais la fenêtre peut alors masquer le contenu des commandes à entrer, listées par exemple dans une page de votre navigateur, désormais difficilement accessible et lisible au premier coup d’œil.
C'est ici qu'arrive Yakuake, le Zorro des terminaux graphiques, monté sur son cheval Qt et qui trace des Y sur les docks de KDE.
Le programme, une fois ouvert depuis le Menu K, tourne en arrière plan.
Pour lancer une commande, il suffit de :
le programme s'intègre mieux dans un bureau KDE, car il utilise les bibliothèques Qt dites Cute.
Il semblerait que certaines personnes rencontrent des problèmes avec l'enregistrement des modifications de profil de Yakuake.
Pour résoudre ce problème fermez Yakuake (croix en bas à droite), éditez les profiles depuis Konsole (lancer Konsole puis configuration > configurer les profils), faites vos modifications.
Au redémarrage de Yakuake, le profil est le même que celui de Konsole
Touche F12
Pour supprimer cette application, il suffit de supprimer son paquet. Selon la méthode choisie, la configuration globale de l'application est conservée ou supprimée. Les journaux du système, et les fichiers de préférence des utilisateurs dans leurs dossiers personnels sont toujours conservés.